dimanche 7 juin 2015

Principales questions sur la réforme du collège

Où en est‐on exactement de la réforme du collège ? 

Le 10 avril dernier, le Conseil supérieur de l'éducation (CSE) a adopté à une large majorité (51 pour, 25 contre, 1 abstention)  la  réforme  de  l’organisation  du  collège  (Enseignements,  grilles  horaires,  etc.).  La  FCPE  a  voté favorablement pour cette réforme. Les textes (un décret et un arrêté) vont bientôt paraître. D’autre part, des travaux ont encore lieu pour réaliser les circulaires qui vont encadrer la mise en œuvre de la réforme, dont le décret et l’arrêté posent le cadre. La FCPE continuera donc à porter nos revendications.
Si le nouveau socle de compétences a déjà été adopté, il ne trouvera sa traduction que par de nouveaux programmes dont les projets réalisés par le CSP (Conseil supérieur des programmes) viennent d’être présentés pour une adoption définitive en septembre/octobre 2015.

Pour le cycle 3 : http://cache.media.education.gouv.fr/file/CSP/03/8/programme_C3_adopte_CSP_412038.pdf 

Le cycle 4 :
http://cache.media.education.gouv.fr/file/CSP/04/3/Programme_C4_adopte_412043.pdf

La réflexion sur l’évaluation et le nouveau brevet est, elle aussi, en cours et devrait aboutir en mai prochain.

Quand la réforme sera‐t‐elle être mise en œuvre ? 

Horaires, évaluation et dotations horaires seront arrêtés au cours de l’année 2015 mais ne seront mis en œuvre dans les établissements que pour la rentrée suivante, c’est‐à‐dire en septembre 2016. Les nouvelles grilles horaires seront appliquées pour tous les élèves à cette rentrée, quel que soit leur classe. Les nouveaux programmes se mettront en place de la manière suivante (par cycle):

  • 5e : 2016 
  • 4e : 2017 
  • 6e et 3e : 2018 
  • Nouveau Diplôme national du brevet : juin 2018. 



Quelles sont les principales avancées pour la FCPE ? 

Parmi les avancées souhaitées et obtenues par la FCPE, on retiendra plus particulièrement

  • de nouvelles pratiques pédagogiques, à travers les enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI) (à partir de la 5ème), 
  • l’accompagnement personnalisé, 
  • un volume d’heure complémentaire pour le travail en petit groupe et le renforcement de l’enseignement des langues. 
La question des rythmes est également introduite, même s’il faudra aller plus loin pour ne pas s’arrêter au milieu du gué. Enfin, les établissements bénéficieront d’une autonomie pour définir et organiser les enseignements. Les parents seront associés aux décisions dans le cadre du conseil d’administration qui s’affirme comme l’instance de décision au sein de l’établissement.

Pour la FCPE, quels sont les principales attentes ou problèmes insuffisamment résolus? 

La question des nouveaux programmes est fondamentale. Pour faire réussir tous les élèves, les collèges ont besoin de programmes plus progressifs et plus cohérents.

Autres besoin fondamentale : une évaluation qui donne du sens aux apprentissages des élèves. Une évaluation bienveillante qui valorise les progrès et qui motive les élèves à développer leurs efforts. En brefs, tout le contraire des notes sanctions, qui n’expliquent rien, qui découragent voire humilient les élèves en difficulté et leurs familles !

La continuité école‐collège ainsi que la place et les relations avec les parents sont des enjeux forts pour l’avenir. Ce sont des questions à traiter sur le terrain mais la FCPE négocie pour que des signes et des instructions sans ambiguïté soient donnés par le ministère.

Au‐delà, la vie collégienne est également à développer pour faire du collège un véritable lieu de vie et d’éducation à la citoyenneté, en articulation avec une réflexion sur les rythmes des élèves.


Qu’attend‐t‐on des enseignements pratiques interdisciplinaires ?  Où est l’amélioration ? 

Les EPI seront mis en place au côté du tronc commun, toutes les disciplines y participeront :

  1. Développement durable ;  
  2. Sciences et société ;  
  3. Corps, santé et sécurité ;  
  4. Information, communication, citoyenneté ;  
  5. Culture et création artistiques ;  
  6. Monde économique et professionnel ;  
  7. Langues et cultures de l’Antiquité ;  
  8. Langues et cultures régionales et étrangères.  

Pour tous les élèves, deux thèmes devront être traités chaque année et six différents au cours du cycle 4 (de la 5ème à la 3ème). Ces enseignements feront l’objet d’une évaluation pour l’attribution du futur diplôme national du brevet.
Ces enseignements permettront de sortir du carcan des enseignements traditionnels dits disciplinaires trop centrés sur l’acquisition des connaissances, et ainsi de donner du sens à ce que les élèves apprennent. Ils auront à privilégier des aspects pratiques, des pédagogies actives et/ou de projet. Ils constitueront ainsi des temps forts pour mettre en œuvre de nouvelles façons d’apprendre et de travailler pour les élèves.

A titre d’illustration, les élèves auront à développer de nouvelles compétences comme s’exprimer à l’oral, travailler en groupe, s’entraider, conduire un projet collectif,  etc.  Le  travail  sur  ces  thèmes  aboutira  à  la  réalisation  d’un  projet  incluant  une  réalisation  concrète, individuelle  ou collective.  Enfin,  toutes  les  disciplines  étant  concernées,  l’ensemble  des  élèves  aura  accès  à des enseignements réservés auparavant à quelques‐uns, comme les langues anciennes ou régionales, permettant ainsi à tous d’élargir leur horizon.

Quelles différences entre les EPI et les itinéraires de découverte (IDD) qui existaient jusqu’à présent ? 


L’esprit de ces dispositifs est identique, mais le cadrage et les moyens alloués aux EPI sont beaucoup plus importants. L’organisation des IDD était laissée à l’initiative des établissements et ils étaient inégalement mis en place.  

La réforme permettra‐t‐elle de mieux accompagner les élèves ? 

Sensiblement.  Pour  la  FCPE,  tous  les  élèves  doivent  trouver  dans  leur  scolarité  l’aide  dont  ils  ont  besoin  pour réussir.  Avec cette réforme, les moyens dédiés à l’accompagnement des élèves de 6ème seront renforcés. A l’entrée au collège, chacun aura 3h d’accompagnement, notamment pour faciliter la transition avec le primaire et atténuer ainsi la rupture importante que vivent de nombreux élèves. En outre, à partir de la 5ème, tous auront au moins une heure d’accompagnement personnalisé, pour faire par exemple de l’aide méthodologique, ou « apprendre à apprendre ». Et
le nombre de groupes à effectifs réduits va également augmenter pour que, dans les matières où les élèves en ont le plus besoin, ils puissent apprendre en petits groupes.


Avec les enseignements interdisciplinaires et l’accompagnement, les élèves perdront‐ils des heures dans certaines disciplines ? 

 Le  nombre  d’heures  par  discipline  ne  diminue  pas,  il  augmente  même  légèrement.  Une  part  de  ces  heures disciplinaires sera dédiée aux EPI, qui seront articulés avec le programme, et à l’accompagnement personnalisé. La communauté éducative pourra également choisir de regrouper des heures d’une même discipline à certains moments de l’année ou du cycle, en fonction du projet d’établissement, par exemple pour permettre de proposer des phases plus longues d’apprentissage. C’est donc l’organisation des enseignements qui est en partie modifiée pour instaurer plus de souplesse dans la manière dont les élèves apprennent.

Ainsi, cette nouvelle organisation va permettre de développer un autre modèle que celui du « une heure, une classe, une discipline », comme la FCPE l’avait appelé de ses vœux.

En outre, le total des heures mises à la disposition des professeurs de collège pour la prise en charge des élèves augmente. Il y aura ainsi davantage d’enseignants par élève accueilli au collège, ce qui permettra de développer par exemple la co‐intervention d’enseignants ou les groupes à effectifs réduits.  

La réforme atténuera‐t‐elle la rupture entre l’école primaire et le collège ? 

Aider les élèves à bien vivre la transition entre l’école primaire et le collège est indispensable pour que chacun puisse progresser lors de cette étape importante. La mise en place du cycle 3 qui correspond au CM1/CM2/6ème va dans ce sens. Pour faire vivre ce cycle, plusieurs moyens sont mis en œuvre :

  • Les 3h d’accompagnement personnalisé en 6ème. 
  • La refonte des programmes qui seront mieux articulés entre le primaire et le collège. 
  • Les  conseils  école‐collège  qui  rassemblent  les  enseignants  des  écoles  primaires  et  de  leur  collège  de rattachement participent à cette mission. Cependant, les représentants de parents d'élèves devraient être mieux associés aux réflexions, notamment au sein du conseil d’école et du conseil d’administration qui se prononcent sur le programme d’action du conseil école/collège. La liaison école/collège comprend entre autre le lien entre les parents et l’école qui se distend trop souvent lors de l’entrée au collège, voire se rompt. La FCPE n’a de cesse de rappeler que cette problématique ne peut être traitée sans les parents. 


Avec l’apprentissage de la LV2 en 5ème, les élèves perdront‐ils des heures en langue vivante ? 

Non, au contraire ! Comme le demandait la FCPE, la réforme devrait renforcer le niveau en langue de tous les élèves. En cohérence avec le nouveau cycle 4 (5ème, 4ème, 3ème), la deuxième langue vivante commencera dès la 5e. Sur toute la durée du collège, le volume global de la LV1 et LV2 sera supérieur à l'horaire actuel des élèves (environ 25%). Qui plus est, des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI) seront consacrés aux langues étrangères et des heures complémentaires seront disponibles pour travailler en groupes à effectifs réduits, indispensables pour favoriser la
pratique de l’oral.  

Que deviendront les classes bi‐langues et les sections européennes ?  

Pour rappel, les classe bilangues proposaient aux élèves de commencer la LV2 dès la 6
ème. Elles seront maintenues en 6ème mais seulement dans les cas où la langue étudiée au primaire n’est pas l’anglais. Elles vont ainsi retrouver leur objectif de départ : assurer la continuité de l’apprentissage d’une langue tout en permettant aux élèves concernés d’accéder dès la 6e à l’anglais, langue véhiculaire la plus utilisée dans le monde.

Les sections européennes étaient mises en place pour une minorité d’élève à partir de la 4
ème et pouvaient proposer un apprentissage renforcé de la langue choisie et parfois un enseignement en langue étrangère pour une ou plusieurs disciplines non linguistiques. Elles vont disparaître, mais ses principes vont être étendus à tous les élèves. En effet, le volume  horaire  de  langue  augmente  et  le  nouveau  collège  va  offrir  les  mêmes  possibilités  d’enseignements interdisciplinaires en langues grâce aux EPI.

Ces évolutions sont conformes aux souhaits de la FCPE car, dans les faits, classes bi‐langues et sections européennes étaient davantage devenues un moyen de constituer des classes de niveaux qui triaient les élèves en laissant de côté ceux  en  difficulté.  Avec  le  renforcement  du  nombre  d’heures  de  langue  pour  tous  les  élèves,  les  moyens supplémentaires pour bien apprendre réservés précédemment à quelques‐uns bénéficieront à tous.

Les options de langues anciennes (latin‐grec) ou régionales seront‐elles supprimées ? 

Non car d’une part, les élèves pourront découvrir ces matières dans le cadre des enseignements du tronc commun et des EPI.  Ainsi, les apports de ces disciplines dans la formation des élèves pourront bénéficier à tous.

D’autre part, les élèves qui souhaitent les approfondir pourront également prendre une option langue ancienne ou régionale dès lors que l’établissement aura décidé d’offrir ce type d’option.  
La FCPE sera toutefois vigilante à ce que ces enseignements « optionnels » soient offerts à tous et ne soient pas détournés de leur objet pour constituer ou développer des filières sélectives et élitistes (exemple des classes de niveau que la FCPE conteste).


A quoi correspond la marge d’autonomie donnée aux établissements ? 

Les collèges auront une marge d’autonomie accrue afin de construire les EPI, de mettre en place l’accompagnement personnalisé et de cibler les enseignements où seront développés les groupes à effectifs réduits. Cela correspondra à environ 20% de la dotation horaire globale (DHG) qui comprendra les heures élèves (les heures de disciplines dues à chaque élève, c’est sur environ 13 à 15% de ces heures que se mettront en place les EPI et l’accompagnement personnalisé) et les heures professeurs qui seront plus importantes. L’objectif est de s’adapter aux besoins des élèves accueillis et de développer des projets innovants. La FCPE sera vigilante à ce que cette autonomie renforcée soit au service  des  objectifs  éducatifs  et  pédagogiques  du  projet  d’établissement,  construit  avec  l’ensemble  de  la communauté éducative. Cette marge d’autonomie doit être perçue comme source d’innovation et de motivation de la communauté éducative et non seulement comme un risque ou un danger.

En outre, ces marges de manœuvre s’accompagnent de la création de postes supplémentaires pour rendre effectives les principales mesures de la réforme. Ces créations ne devront pas servir à compenser les non remplacements d’enseignants que la FCPE dénonce régulièrement, mais bien à répondre aux objectifs du nouveau collège. La question des remplacements doit aussi être travaillée.

Quels seront les nouveaux rythmes des élèves au collège ?  

La réforme prévoit une pause méridienne de 90 minutes pour tous les élèves. Chacun aura enfin le temps de se restaurer et de faire une pause indispensable pour reprendre les apprentissages de l’après‐midi dans de bonnes conditions. Il est également prévu que la journée de classe ne dépasse pas 6h pour les 6e. C’est la première fois que le temps que les élèves passent au collège est en partie encadré. C’est une étape indispensable pour favoriser la réussite et le bien‐être de tous au collège.  Mais pour ne pas s’arrêter au milieu du gué, la FCPE demande également que :

  • Ces 6h maximum soient obligatoires pour tous les collégiens et non une mesure réservée aux seuls élèves de 6ème  
  • le travail personnel des élèves soit repensé afin d’en finir avec la sous‐traitance pédagogique que sont les devoirs et la surcharge qu’ils représentent à la fin de la journée.  
  • les  emplois  du  temps  soient  construits  en  fonction  des  pics  de  vigilance  des  élèves  afin  d’améliorer  les conditions d’apprentissage des élèves.  
  • le temps en dehors de la classe soit pris en compte pour faire du collège un véritable lieu de vie.  


 Le rôle du collège comme lieu d’épanouissement et de construction de la citoyenneté sera‐t‐il renforcé ? 

Un conseil des délégués pour la vie collégienne sera installé dans chaque collège. Des actions relatives à la formation du futur citoyen seront également inscrites dans les projets d’établissement. Pour la FCPE, les jeunes devraient avoir accès à des espaces d’accueil où des adultes sont présents et à des activités éducatives. De même, la vie associative devrait également y être davantage développée. L’ensemble de ces actions pourraient être mises en œuvre en relation avec les projets éducatifs développés dans les territoires.  Les nouveaux rythmes doivent participer à cette dimension de la réforme. Ainsi, les 90 minutes de pause méridienne ne doivent pas être des temps d’attente pour les élèves, mais bien des temps éducatifs.


samedi 6 juin 2015

[FCPE] Assemblée générale extraordinaire - 8 juin salle Anita Conti

Salut

J'étoffe un petit peu plus le menu de la soirée:
 - Vote des nouveaux status (si le quorum est atteint)
 - Élection d'un nouveau bureau
 - Retour sur l'entrevue avec la directrice de la Haye-Renaud
 - Retour de la réunion avec la mairie et les enseignants sur le PEDT
 - Préparation des conseils d'écoles
 - préparation de la rentrée

Cordialement

Eric


lundi 1 juin 2015

Conseil d’école du 26 février 2015 Ecole maternelle « les Omblais »



Présents :

Parents élus : Nathalie Jolivet, Véronique Dumont, Amélie Lelièvre, Carolina Le Goff Sanchez.
Représentants de la municipalité : Thierry Anneix (adjoint au maire), Laurence Tymen (conseillère municipale)
DDEN : Madame Michelle Ledonge
Enseignants : Cécile Parinet, Claudine Morales, Annie Chaperon, Claudie Campion, Delphine Quérard.

Invitée : Mme Tarridec de la l’association « Canailles et Polissons »

Excusés:

IEN de circonscription : M. Barbier




  • Bilan de la réunion du premier GLP (Groupe Local Périscolaire)

Une première réunion a eu lieu à l’école le 22 janvier 2015. Ce groupe est composé des représentants des parents d’élèves, de Mme Lahogue et de Mme Uguet, responsables des temps périscolaires, de M. Anneix, l’adjoint au maire, du référent pour les ateliers périscolaires de la maternelle, d’animateurs périscolaires , d’une enseignante et de Mme Parinet directrice de l’école. Ces réunions ont pour objectif la rédaction du PEDT (Projet éducatif territorial). Le PEDT est rédigé par la mairie et sera rendu en juin 2015.
Le but est de donner plus de cohérence aux les différents temps de l’enfant qui se succèdent tout au long de la journée.
Lors de cette première réunion, nous avons parlé des activités proposées lors des TAP (ateliers du mardi et du vendredi). Il est apparu important de tenir compte du fait que les jeunes enfants de maternelle, déjà soumis à de nombreuses exigences scolaires, sont là sur des moments de loisirs. Il ne faut pas forcement aboutir à une réalisation concrète, mais des temps de jeux en petits groupes sont plus adaptés. Il est important que les groupes de 14 élèves soient répartis dans les locaux de l’école pour favoriser des moments plus calmes et moins bruyants pour les élèves.
Les parents d’élève ont demandé à la mairie s’il serait possible de leur indiquer ce que fait leur enfant pendant les TAP. Ils regrettent un manque de communication de la part de la mairie à ce sujet. Ceci a déjà été demandé à plusieurs reprises par les familles. Il leur a été répondu que ceci serait fait prochainement.

Les règles de vie, l’utilisation des locaux, les mesures de sécurité sur les temps scolaires et périscolaires doivent être connus et partagés par tous les intervenants. Une charte devrait être rédigée et communiquée. Ceci fera l’objet de la deuxième réunion du GLP.

Le compte-rendu du premier GLP sera communiqué par la mairie prochainement.

M. Anneix a exprimé la volonté de la municipalité de proposer des formations de qualité à son personnel. Ce sera fait l’année prochaine avec la possibilité de se former sur « l’accueil des enfants et des usagers », « la gestion de l’agressivité chez l’enfant » ou « les activités d’éveil », par exemple.

  • Bilan des comptes de la coopérative scolaire

Mme Chaperon présente le bilan joint en annexe.
Le montant élevé de la cotisation OCCE est abordé, mais Mme Chaperon explique que c’est une adhésion nécessaire qui permet à l’école d’avoir un compte bancaire. La participation (facultative) des parents d’élèves par la cotisation de 5 euros, qui leur est demandée en début d’année, est en grande diminution alors que le nombre d’élèves a augmenté.

Les comptes de l’école sont largement alimentés par l’association « Canaille et Polissons » que Mme Tarridec est venue présenter. Cette association propose des actions tout au long de l’année (vente de sapins de Noel, de chocolats, de mugs…) et organise la fête de l’école. Avec les bénéfices de ces actions, l’association reverse la somme de 1750 euros à l’école maternelle. Cette somme a été répartie équitablement sur les cinq classes. Chaque classe utilise cette somme pour financer des sorties ou des achats divers pour les projets scolaires.
Mme Tarridec nous annonce qu’il serait possible pour l’association de financer un spectacle par an pour l’école maternelle. L’école ne se privera pas de cette possibilité.

L’argent de la « coop » vient compléter les crédits scolaires alloués par la mairie. Cette année 2015, pour l’école maternelle, le budget « fournitures scolaires » est de 7088 euros, et le budget « projet d’école » (autre que fournitures) est de 2403 euros. Ce budget a été voté par le conseil municipal.


  • Questions diverses des parents d’élèves

1 – Jeux dangeureux
Les parents élus évoquent la question des « jeux dangereux ». Deux courriels de parents leur ont été adressés en début d’année scolaire. Les enseignants répondent qu’il est important que les parents d’élèves s’adressent à eux en premier lieu, dans ce genre de situation. En effet, il est important d’être informé au plus vite (ce qui n’était pas le cas) afin d’avoir une réponse rapide et adaptée.

2 – Les Atsems
Les parents d’élèves évoquent l’inquiétude des Atsems sur une possible mobilité « subie» de ces agents vers les autres écoles de la commune. M. Anneix répond que de part leur statut, la mobilité des Atsems est possible et dépend de la DRH. Ceci permettrait de « mixer les savoirs-faire ». Les parents répondent que les Atsems sont des points de repère essentiels pour les enfants, qu’elles connaissent bien les familles et les élèves et les échanges avec elles, tout au long de la scolarité, constituent un lien précieux et rassurant pour tous. De fait des changements de personnel interviennent régulièrement (récemment un départ en retraire, une longue maladie…), seules trois d’entre elles sont à l’école depuis longtemps. Les parents élus ajoutent qu’ils souhaitent être tenus informés à ce sujet. M. Anneix leur répond favorablement.


3 – Des dates :
La soirée gourmande aura lieu le 26 mars.
La porte ouverte est prévue le samedi matin 28 mars.

Le prochain conseil d’école se tiendra le jeudi 11 juin à 18h15.